Elle inspire.

Son visage plissé, ses deux cicatrices et ses cheveux crasseux sentent la rose. Il n’est pas le seul à dégager cette odeur, tous les personnages qui l’accompagnent ont le même parfum. L’effluve n’est pas dans le film, elle est dans la salle. Peu importe d’où elle vient, peu importe que je sache exactement de quelle marque de shampoing il s’agit, je ne sais pas qui la porte, alors je l’attribue au clown triste, et c’est le plus important. Parce que je ne veux pas me souvenir sans odeur, je ne pourrai plus la sentir sans penser à lui.

~ by Stéphanie K. on July 30, 2008.

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